Quel est mon avenir amoureux. Une étude française, menée notamment en Normandie, montre qu'une famille monoparentale sur six vit dans une zone urbaine sensible. Les familles les plus touchées sont celles dont le nombre d'enfants est élevé (trois enfants), ainsi que celles dont les parents sont jeunes et au chômage. En effet, il y a une corrélation très marquée entre ces différentes catégories. Si l'on ajoute à cela la charge d'une famille, on comprend que ces données réunies constituent un facteur de pauvreté quel est mon avenir amoureux.
Des chiffres québécois vont dans le même sens Plus le parent est jeune, plus il risque d'être touche par la pauvreté 88 % de la tranche d'âge 15-24 ans est concernée par ce phénomène.
Conséquences quel est mon avenir amoureux
Le divorce mène pour les classes les moins favorisées à un isolement financier, les ex-conjoints ayant perdu le soutien financier du partenaire et de la belle-famille. Claude précise que mieux on est situé socialement, plus on a de chance d'obtenir de l'aide de son entourage (famille, ex-conjoint ou réseau amical). Ce principe du don et du contre-don, se pratiquera plus difficilement si on appartient à une classe sociale moins favorisée. En effet, le don et le contre-don impliquent une triple obligation : donner, recevoir et rendre ce que l'on a reçu quel est mon avenir amoureux. Ce principe est bienveillant dans la mesure où il entretient une dynamique d'entraide et de réciprocité mais malveillant dans celle où les plus pauvres s'avèrent incapables économiquement de rendre ce qu'on leur a donné. En brisant cette chaîne quel est mon avenir amoureux, ils sont rapidement exclus du système35. Cette pratique renforce les liens de solidarité entre les individus actifs et insérés socialement, mais en exclut les plus pauvres.